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Les informations essentielles sur les produits phytopharmaceutiques
IndoorGardens est un site agréé par le ministère de l'agriculture pour la vente de produits phytopharmaceutiques aux utilisateurs non profesionnels.
Numéro d'agrément : IF01986
Ces substances chimiques contrôlées regroupent tous les traitements de protection des plantes contre les insectes et les maladies qui peuvent avoir un impact négatif sur les cultures.
A partir du 1er octobre 2013, un agrément du Ministère de l’Agriculture sera obligatoire pour tout distributeur et tout utilisateur à titre professionnel de ces produits.
Par l’obtention de cette certification, le groupe Indoorgardens s’engage alors de fournir des conseils adaptés et raisonnés quant à la protection des cultures et à l’utilisation de produits de traitements phytosanitaires.
Vous trouverez des informations utiles dans le guide des bonnes pratiques phytosanitaires et dans les rubriques ci-dessous :
Ce terme désigne spécifiquement les utilisations végétales des pesticides (agricole et non agricoles, comme dans les jardins ou les espaces verts des communes). Il existe principalement quatre catégories : les herbicides (contre les mauvaises herbes), les fongicides (pour lutter contre les champignons pathogènes), les insecticides (pour lutter contre les insectes) et les acaricides (pour lutter contre les acariens). D'autres produits ont une action sur les rongeurs (rodonticides), sur les escargots et les limaces (molluscicides). D'après la définition donnée par l'article L.253-1 du code rural, ils comprennent aussi les produits contenant des OGM ayant pour fonction de détruire les espèces indésirables.
Les produits phytopharmaceutiques sont aussi appelés produits de protection des plantes, ou encore produits phytosanitaires.
Bon à savoir :
Les champignons mycorhiziens symbiotiques, de part leur action de protection du végétal, sont classés parmi les produits phytopharmaceutiques. Les hormones de bouturage sous quelconques forme qu’elles soient sont également classées dans les produits phytopharmaceutiques.
L’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) est l'accord donné à un titulaire des droits d’exploitation d’une spécialité commerciale phytopharmaceutique fabriquée industriellement pour qu’il puisse la commercialiser. Tout produit de protection des plantes doit être distribué sous un N° d’AMM, il doit obligatoirement figurer sur l’étiquette du produit.
Bon à savoir :
Certaines matières fertilisantes, amendements ou stimulateurs (hors PPP) peuvent être amenés à faire une demande d’AMM afin d’être commercialisée en toute conformité.
Toutes les AMM en cours de validité accordées en France sont répertoriées sur le site : http://e-phy.agriculture.gouv.fr/
La Fiche de Données de Sécurité est un formulaire en 16 points contenant des données relatives aux propriétés d'une substance chimique. Il peut s’agir aussi bien d’un PPP ou autre biocide, d’une matière fertilisante, d’un produit dangereux, d’un solvant etc…
Elles contiennent, entre autre, les informations relatives au fabricant (ou importateur), à la composition du produit, les risques potentiels liés à l’utilisation de la substance en question, Elles informent les soignants et le personnel d’urgence (spécialistes et centres anti-poison) sur les risques de dangerosité et toxicologiques afin de permettre une intervention raisonnée face au problème lié à l’utilisation d’un produit.
Ces fiches doivent être disponibles à la demande de chaque utilisateur et distributeur. Le fabricant doit fournir ces fiches à jour et dans la langue de l’utilisateur final. Elles doivent se conformer au règlement CE (no 1907/2006) ( REACH ).
La définition officielle stipule que la lutte biologique est l'utilisation d'organismes vivants pour prévenir ou réduire les dégâts causés par des ravageurs, donc, en résumé, faire appel à la nature en employant les prédateurs naturels pour combattre les ravageurs. La lutte biologique est un moyen de limiter un ennemi donné par son prédateur naturel qui devient un auxiliaire du jardinier. Ce principe, inventé il y a 150 ans, bien avant les traitements chimiques, rétablit les équilibres naturels. Les auxiliaires qu'on cherche à utiliser sont le plus souvent des insectes entomophages, des acariens entomophages ou parasites.
L’agriculture biologique est une méthode de production agricole qui se caractérise par l'absence d'usage de la chimie de synthèse. Elle se veut le prolongement d'une agriculture traditionnelle millénaire qui a été presque totalement exempte d'intrants chimiques, à l'opposé de leur utilisation massive par l'agriculture industrielle et intensive depuis le XXe siècle. Cette méthode affirme mieux respecter le vivant et les cycles naturels. Elle vise à gérer de façon globale la production en favorisant l'agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques.
Pour atteindre les objectifs du label Agriculture Biologique, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l'usage d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d'organismes génétiquement modifiés. Ils choisiront alors pour la protection de leur culture des produits phytopharmaceutiques Utilisables en Agriculture Biologique.
En Europe il existe un règlement auquel ce type de produit doit se conformer, c’est le règlement CE 834/2007 relatif aux modes de production en Agriculture Biologique.
Sur l’homme :
Les produits phytopharmaceutiques sont connus pour leurs nuisances sur la santé humaine. Leur exposition augmente les risques de maladies neurodégénératives, d'hémopathies et de troubles de la reproduction et de plusieurs types de cancers (gliomes, sarcomes, cancers de la prostate, etc.). Ces risques sont énoncés par des phrases de risques apposées sur les étiquettes des produits concernés :
Sur l’environnement :
Les risques sur l’environnement sont divers, ils sont énoncés par des phrases de risques qui doivent être apposées sur les étiquettes des produits concernés :
Pour réduire les risques, il convient de limiter l’application de ces produits (d’autres solutions dites « bio » peuvent exister, voir rubrique « Lutte Alternative ») et de se protéger de manière appropriée (voir rubrique « EPI : Equipement de Protection Individuel »).
Les PPP sont classés par niveau de dangerosité, des pictogrammes présents sur les étiquettes des produits vous donnent l’indication du type de danger lié à son utilisation.
La mention EAJ (Emploi Autorisé en Jardin) garantit un niveau de moindre dangerosité.
La mention UAB (Utilisable en Agriculture Biologique) garantit que la substance active utilisée dans le produit ne présente pas de risque inacceptable pour la santé humaine ou animale, ni pour l’environnement lorsque le produit est utilisé dans les conditions normales liées à son autorisation de mise sur le marché (AMM).
D’après l’arrêté du 6 octobre 2004 relatif aux conditions d’autorisation et d’utilisation de la mention « emploi autorisé dans les jardins » pour les produits phytopharmaceutiques modifié par l’arrêté du 26 juillet 2005, les spécialités bénéficiant de la mention « Emploi Autorisé dans les Jardins (EAJ ) » sont les seuls produits qui peuvent être vendus aux personnes non professionnelles (jardiniers amateurs) et utilisés par ces derniers car ils présentent des garanties de moindre dangerosité.
Les LMR sont les concentrations maximales réglementaires de substances actives qui ne doivent pas être dépassées dans les denrées alimentaires. Elles sont définies lors des études toxicologiques effectuées pour l’obtention de l’AMM.
Respecter les prescriptions d’utilisation d’un produit définies par l’AMM, particulièrement en ce qui concerne le Délai Avant Récolte (DAR), permet de ne pas dépasser la LMR de ce produit.
Le DAR est le temps nécessaire à la dégradation du produit phytosanitaire après traitement que l’on doit respecter avant de récolter. Si aucune DAR n’est indiquée sur l’étiquette la DAR est alors de 3 jours.
Respectez toujours les consignes de l’étiquette.
Gants conformes aux exigences générales de la norme EN420 et ayant obtenu un classement de performances pour les caractéristiques des applications particulières telles la chaleur de contact supérieure à 100°C (EN407) et les risques chimiques (EN374).
EN374 : Gants de protection contre les risques chimiques et les micro-organismes.
EN374-1 : Terminologie et performances requises.
EN374-2 : Résistance à la pénétration (1à3).
Gants de protection contre les micro-organismes Etanche selon la norme EN374-2 conforme au minimum au niveau 2 de l'essai de pénétration. La résistance à la pénétration des gants est mesurée suivant la procédure ISO2859 qui définit 3 niveaux de qualité acceptable AQL.
Niveau 3 doit avoir un AQL à 0,65.
Niveau 2 doit avoir un AQL à 1,50.
Niveau 1 doit avoir un AQL à 4,00.
Un gant résistant aux produits chimiques est un gant étanche selon la normeE N374-2 et qui a obtenu un indice de performance au moins égal à 2 pour trois produits de la liste ci-dessous :
EN166 Spécification (qualité optique, résistance aux risques courants, risques mécaniques, résistance aux chocs/impacts).
EN169 Filtres pour les oudage.
EN170 Filtres pour l'ultraviolet.
EN172 Filtres de protection solaire pour usage industriel.
EN175 Équipement pour les travaux de soudage.
EN379 Filtres de soudage à échelon de protection variable ou à double échelon de protection.
EN1731 Écran facial grillagé.
EN1836 Filtre de protection solaire pour le loisir et le sport.
Cette protection oculaire doit être stockée à l'abri de la lumière directe du soleil et des produits abrasifs. Les oculaires doivent être nettoyés avec un chiffon doux et de l'eau savonneuse tiède, et peuvent être désinfectés avec un désinfectant ménager ordinaire.
Les vêtements de protection sont l'une des catégories les plus exigeantes en matière de normes.
La norme qui apparait le plus souvent dans les vêtements de protection est EN340 car elle est relative à l'ergonomie des vêtements de protection, au vieillissement des vêtements de protection, aux tailles et aux informations des vêtements de protection fournis par le fabricant de vêtements de protection.
Ensuite plusieurs catégories viennent se rattacher principalement aux vêtements de protection comme les vêtements de protection contre la chaleur et la flamme, les vêtements de protection contre le froid, les vêtements de protection contre les intempéries, les vêtements de protection contre les risques chimiques, les vêtements de protection contre les risques mécaniques, les vêtements de protection haute visibilité EN471, et les vêtements de protection contre la contamination radioactive EN1073-1.
*VME : Valeur Moyenne d’ExpositionUN STOCKAGE SÛR ET ORDONNÉ ÉVITE TOUT RISQUE D’INTOXICATION ACCIDENTELLE, CONSERVE AUX PRODUITS LEUR EFFICACITÉ.
![]() Placer les produits hors de portée des enfants | ![]() Conserver les produits : | ![]() Conserver dans ce local les ustensiles |
![]() Ne pas fumer dans ce local. | ![]() Remiser à part, hors de ce local, les équipements de protection nettoyés | ![]() Appliquer le principe du «premier entré, premier sorti». |
-Contrôler le pulvérisateur (obligatoire à dater du 01/01/2003) et le remettre en état.
-Contrôler l’étanchéité des circuits.
-Choisir les buses adaptées.
-Étalonner et régler le matériel.
-Observer la culture.
-Prendre en compte les avertissements.
-Choisir le produit le mieux adapté.
-Respecter la dose prescrite, les périodes d’application, les délais d’attente avant récolte, les précautions d’emploi.
-À l’extérieur.
-À proximité d’un point d’eau.
Opérer la préparation avec les ustensiles réservés à cet usage. Pour préparer la bouillie ou la solution, mettre un peu d’eau dans le réservoir, réaliser une agitation et rajouter le produit. Compléter ensuite avec de l’eau. S’il y a plusieurs produits, assurez-vous de leur compatibilité.
-Bien rincer les bidons à l’aide du lave-bidon.
-Pour vider un sac, mettez-vous le dos au vent.
Appliquer la solution dès la préparation - Maintenir une vitesse constante. Ne pas traiter par grand vent ni par forte chaleur - Éviter les excès de pression. En période de floraison, n’utiliser que les produits portant la mention «Emploi autorisé durant floraison».
-ne disposez pas d’appât anti-limaces ou anti-campagnols en tas.
Dès la fin du traitement rincer le circuit du pulvérisateur en remettant 5 à 10% d’eau claire dans la cuve et en pulvérisant le fond de la cuve sur la parcelle traitée.
-Rincer le pulvérisateur au champ.
-Nej amais vider les eaux de rinçage dans un égout, une fosse, un fossé.
-Remplacer les pièces usées (jet notamment).
-Contrôler les pièces fragiles comme le manomètre.
-Mettre en pression les moteurs monocylindres.
Les emballages vides ne doivent jamais être abandonnés.Ils doivent être rincés (à l’aide du lave-bidon), séchés percés (bouchon à part), placés dans une enveloppe plastique pour collecte ultérieure.
Prévoir le volume de bouillie en fonction de la superficie à traiter.
Ne jamais jeter des produits à l'égout ou au fossé.
Ne jamais remplir une cuve à partir d'un cours d'eau ou d'un réseau sans clapet de retour.
Ne pas laisser sans surveillance un pulvérisateur plein.
Les produits phytosanitaires font tous l’objet d’une autorisation de Vente délivrée par le Ministère de l’Agriculture. Leur emballage ou étiquetage portent notamment :
En outre,les étiquettes des produits renfermant des substances dangereuses portent nécessairement :
![]() -Explosibles instables | ![]() -Toxicité aigüe, catégorie 4. | ![]() -Substances ou mélanges corrosifs pour les métaux, catégorie 1. |
![]() -Sensibilisation respiratoire, catégorie 1. | ![]() -Gaz inflammables, catégorie 1. | ![]() -Gaz comburants, catégorie 1. |
![]() -Toxicité aigüe, catégorie 1, 2, 3. | ![]() Gaz sous pression : | ![]() -Dangers pour le milieu aquatique Danger aigu, catégorie 1. |
-Explosibles, divisions 1.5, 1.6.
-Gaz inflammables, catégorie 2.
-Substances et mélanges autoréactifs, type G.
-Peroxydes organiques, type G.
-Toxicité pour la reproduction, catégorie supplémentaire : effets sur ou via l’allaitement.
-Dangers pour le milieu aquatique - Danger chronique, catégorie 3,4.
« Méthode de lutte par excellence ». La prophylaxie permet d’éliminer 80% des infections phytosanitaires des cultures. La plantation de bandes fleuries ou enherbées attirera les auxiliaires. Les adventices, sources à virus et réservoirs d’abris pour les ravageurs seront supprimées. Enfin, la gestion des déchets organiques et inorganiques complète la panoplie de la prophylaxie
Plantez en bordure des carrés de légumes des plantes insecticides comme basilic, valériane, hysope, mélisse, aster, capucine, cosmos, chrysanthème, oeillet d'Inde, souci, chanvre, menthe, romarin, sauge, tanaisie, lavande et thym. Par opposition, plantez certaines plantes qui les attirent (capucines pour les pucerons noirs par exemple), il suffira ensuite de les arracher et les brûler. Une bonne rotation et association des cultures limitera la prolifération des nuisibles. Retournez la terre en hiver pour exposer les insectes en dormance au froid et aux oiseaux.
Utilisation d’auxiliaires des cultures (insectes, acariens, champignons, bactéries, nématodes, etc.). Leur utilisation est délicate car ce sont des êtres vivants. S’entourer de spécialistes au début.
Prédateurs et auxiliaires (jardins, cultures, forêts) :
Araignées, oiseaux, hérissons pour lutter contre les insectes.
Coccinelles, guêpe parasite, cécidomyie prédatrice pour lutter contre les pucerons.
CHRYSOR (chrysopes) pour lutter contre les pucerons.
Cécidomyie prédatrice, acarien prédateur pour lutter contre les araignées rouges des serres. Guêpe parasite, punaise prédatrice pour lutter contre les aleurodes.
Hyménoptères parasites pour lutter contre la mouche mineuse et les chenilles. Hérisson pour lutter contre les limaces.
Substances naturelles (jardins) :
Bière, coquilles d’oeufs pour lutter contre les limaces.
Marc de café pour lutter contre les pucerons. Suie pour lutter contre les chenilles. Ail, orties pour lutter contre les acariens et les pucerons. Tanaisie pour lutter contre la mouche du chou, les acariens du fraisier et de la ronce, les fourmis et les pucerons.
Toute action physique ou mécanique pour empêcher le nuisible d’accéder ou de se développer dans la culture.
Les filtres type BEAST DEFENDER, les filets (Insectproof, ombrières, etc.), les sas, les pédiluves, le désherbage mécanique ou thermique, la désinfection vapeur, le paillage ou les mulchs sont des exemples parmi tant d’autres. Attention certaines méthodes ont une incidence sur le climat, la qualité du sol et plus généralement sur l’agroécosystème.
Une des méthodes les plus utilisées. Plusieurs systèmes de piégeage basés sur l’utilisation d’attractifs sexuels, alimentaires, etc. Stratégie utilisant à son profit le comportement du ravageur pour le contrôler.
Les panneaux gluants type OR BRUN PIEGE A INSECTES (JAUNE), ils permettent en outre d'effectuer des comptages (si vous savez reconnaitre les insectes) en complément d'observations sur les végétaux afin de déterminer si une lutte complémentaire est nécessaire (par apport d'auxiliaires ou traitement); Contre les papillons et d'autres insectes spécifiques il existe des pièges équipés d'une capsule remplie de phéromone sexuelle qui désorientent les mâles et/ou les piègent dans des dispositifs conçus spécialement (piège delta).
La création de nouvelles variétés est une option, parfois la seule à une réponse virale. Les semenciers développent des variétés tolérantes ou résistantes notamment aux virus. Attention ces variétés n’expriment leurs potentialités de résistance que dans certaines conditions climatiques.
Des plantes résistantes peuvent être obtenues de deux manières différentes, par la sélection ou la transgénèse.
Des variétés commerciales de melon possèdent le gène VAT qui confère une résistance au puceron du melon et du cotonnier (Aphis gossypii), un ravageur de nombreuses familles de plantes cultivées.
Toute action sur la culture pour empêcher le développement des nuisibles.
Effeuillage, égourmandage, broyage des déchets végétaux, ramassage de fruits contaminés et surtout la rotation des cultures. D’autres pratiques comme la date de semis, la densité de semis, l’association de plusieurs plantes cultivées en intercalaire sont utilisées dans le monde entier.
Les coccinelles: elles sont très efficaces.
Les chrysopes: ces insectes prédateurs assez généralistes (s'attaquent aussi aux thrips et aux tétranyques) semblent intéressants en champ car ils travaillent bien entre 12 et 35°C. Plusieurs insectes bénéfiques disponibles commercialement et utilisés en serre tels que Aphidius et Aphidoletes aphidimyza peuvent aussi l'être en champ. Ces insectes sont intéressants, car ils sont peu mobiles. Contrairement aux coccinelles, ils ne quittent pas le champ lorsque la population de pucerons est faible.
Phytoseiullus persimillis: à utiliser en traitement curatif. Il n'a pas de source de nourriture alternative. Il perd son efficacité lorsque la température est élevée et l`humidité relative faible.
Amblyseius fallaci: ce prédateur est bon en champ à des températures variant de 9 à 32°C. Il peut aussi se nourrir de pollen, ce qui fait qu'on peut l'utiliser en prévention lorsque les populations de tétranyques sont faibles. Il résiste à l'hiver et peut rester dans le champ plusieurs années.
Amblyseius californicus: similaire à Amblyseius fallacis mais ne résiste pas à l'hiver. Il peut survivre plus longtemps que Amblyseius fallacis sans nourriture.
Feltiella acarisuga: reste actif par temps froid (printemps et automne). Il peut voler et détecter les foyers d'infestation lorsqu'il vole.
Nématodes (Steinenerma carpocapsae, Steinenerma feltiae, Heterorhabditis bacteriophora): ces nématodes sont sensibles à la sécheresse. L'efficacité est variable selon les conditions environnementales. Comme les nématodes attaquent beaucoup d'insectes différents dans le sol, on peut se questionner sur leur impact sur l'équilibre écologique du sol.
Les trichogrammes pondent leurs œufs dans les œufs de pyrale. Il est donc important d'introduire ces dernières au bon moment, c'est-à-dire au début de la ponte de la pyrale. Pour mieux connaître ce moment critique, l'utilisation de pièges ou encore le suivi des avertissements phytosanitaires du RAP s'avère nécessaire. Après l'éclosion des œufs de pyrale, l'introduction de trichogrammes est inutile, car elles n'ont aucun effet sur les larves. Pour le poivron, l'espèce de trichogramme à privilégier est Trichogramma ostrinia.
Encarsia formosa (guêpe parasite): 2-4 Encarsia par m2 par semaine pendant 6 à 7 semaines. Macrolophus caliginosus (punaise prédatrice): 0,5 macrolophus par m2 par semaine pendant 2 à 4 semaines minimum.
Dacnusa sibirica et Diglyphust isea (hyméoptères parasites) : 0,25 (90% de Dacnusa et 10% de Dygliphust) par m2 par semaine.
Aphidius ervi et Aphelinus abdominaly (hyméoptères parasites) : 2 (Aphidius/ Aphelinus) par m2 dans et autour des foyers. Aphidoletes aphidimyza (cécidomyie prédatrice) : 0,5 à 1 Aphidoletes par m2 par semaine après constatation de colonies de pucerons et 5 à 10 dans et autour des foyers. Aphidius colemani (hyméoptères parasites)
Phytodeiulus persimilis (acarien prédateur) : 20 à 50 Phytodeiulus par m2 dans et autour des foyers. Therodiplosis persicae (cécidomyie prédatrice) : 20 à 50 Therodiplosis par m2 dans et autour des foyers.
Therodiplosis persicae (cécidomyie prédatrice) : 20 à 50 Therodiplosis par m2 dans et autour des foyers.
PLANTES: Ail (Allium Sativum)
Effets: Répulsif pour les insectes, prévient les gros insectes
PLANTES: Ambroisie artémis (Ambrosia artemisiifolia)
Effets: Diminue tes mouches
PLANTES: Aneth (Anethum graveolens)
Effets: Insecticide total, prévient les souris et autres rongeurs, les limaces et les escargots
PLANTES: Anis (Pimpinella anisu)
Effets: Prévient les pucerons, les mouches et diminue les vers des choux
PLANTES: Armoise (Artemisia)
Effets: Insecticide total, prévient les souris et autres rongeurs, les limaces et les escargots
PLANTES: Baie de sureau (Sambucus)
Effets: Répulsif pour tes insectes
PLANTES: Basilic (Ocimum basilicum)
Effets: Contrôle les différents parasites
PLANTES: Bourrache (Borage officinalis)
Effets: Attire les abeilles, réduit les larves de courtilières, et repousse les noctuelles des tomates
PLANTES: Brocoli (Brassica oleacea)
Effets: Diminue les pucerons du concombre
PLANTES: Cacahuète (Arachis hypogaea)
Effets: Prévient Ostrinia furnacalis
PLANTES: Carotte (Daucus carota)
Effets: Repousse la mouche de l'oignon
PLANTES: Céleri (Apium graveolens)
Effets: Repousse la mouche de l'oignon
PLANTES: Chataire (Nepeta cataria)
Effets: Repousse les aphidés, les doryphores, les gros insectes, les mouches, les coléoptères, les thríps et les charançons
PLANTES: Chrysanthème (Chrysanthemum coccineum)
Effets: Réduit les nématodes
PLANTES: Ciboulette (Allium schoenoprasum)
Effets: Guérit le black spot sur les roses, repousse les gros insectes, décourage les insectes qui escaladent les arbres fruitiers
PLANTES: Citronnelle (Artemisia abrotanum)
Effets: Prévient la mouche des choux, la mouche de la carotte
PLANTES: Coriandre (Coriandrum sativum)
Effets: Prévient les doryphores
PLANTES: Eucalyptus (Eucalyptus)
Effets: Répulsif pour les insectes
PLANTES: Fenouil (Foeniculum vulgare)
Effets: Prévient les pucerons
PLANTES: Grande capucine (Tropaeolum majus)
Effets: Diminue les pucerons, les vers des choux, les doryphores, prévient les parasites de la courge et la mouche blanche
PLANTES: Haricot (Phaseolus)
Effets: Diminue les vers du maïs
PLANTES: Herbe de la Saint-Jean (Sorghum halepense)
Effets: Diminue les parasites de la vigne
PLANTES: Herbe du Soudan (Sorghum sudanense)
Effets: Diminue les parasites de la vigne
PLANTES: Herbe-aux-perruches (Asclepias)
Effets: Prévient les pucerons
PLANTES: Hysope (Hyssopus officinalis)
Effets: Repousse les mouches et les larves d’insectes
PLANTES: Laurier des bois (Euphorbia lathyrus)
Effets: Repousse les taupes
PLANTES: Luzerne (Medicago sativa)
Effets: Réduit le ver du maïs
PLANTES: Maïs (Zea mays)
Effets: Diminue les mouches du concombre
PLANTES: Morelle noire (Solanum nigrum)
Effets: Diminue les doryphores
PLANTES: Moutarde (Brassica nigra)
Effets: Diminue les pucerons
PLANTES: Œillet d’Inde (Tagetes patula)
Effets: Prévient les gros insectes et les nématodes
PLANTES: Oignon (Allium cepa)
Effets: Prévient les doryphores, la mouche de la carotte
PLANTES: Ortie blanche (Lamium album)
Effets: Prévient les parasites de la pomme de terre
PLANTES: Pétunia (Petunia)
Effets: Repousse les gros insectes, les parasites de la pomme de terre et des courges
PLANTES: Pissenlit (Taraxacum officinale)
Effets: Repousse les doryphores
PLANTES: Poireau (Allium ampeloprasum)
Effets: Prévient la mouche de la carotte
PLANTES: Pomme de terre (Solanum tuberosum)
Effets: Prévient les gros insectes
PLANTES: Radis (Raphanus sativus)
Effets: Prévient les parasites de la courge, la mouche des racines, et beaucoup d'autres parasites
PLANTES: Raifort (Armoracia rusticana)
Effets: Prévient les doryphores
PLANTES: Ricin (Ricinus communis)
Effets: Contient la prolifération des taupes, des moustiques et des nématodes
PLANTES: Romarin (Rosmarinus officinalis)
Effets: Prévient les parasites du haricot, la mouche des choux, la mouche de la carotte et bien d'autres insectes
PLANTES: Rose d'Inde (Tagetes erecta)
Effets: Diminue les nématodes
PLANTES: Rose d'Inde (Tagetes)
Effets: Réduit les nématodes et les parasites du chou
PLANTES: Rue (Ruta graveolens)
Effets: Prévient les gros insectes et les mouches
PLANTES: Santoline (Santolina chamaecyparissus)
Effets: Prévient les vers du maïs et ceux qui s'attaquent aux racines
PLANTES: Sauge (Salvia officinalis)
Effets: Prévient les vers du chou, la mouche des choux et les asticots
PLANTES: Scorsonère (Scorzonera hispanica)
Effets: Diminue la mouche de la carotte
PLANTES: Seigle (Secale)
Effets: Diminue les nématodes
PLANTES: Soja (Glycine max)
Effets: Prévient les vers et les parasites qui perforent le maïs
PLANTES: Souci (Calendula officinalis)
Effets: Prévient la mouche de l'asperge, les vers de la tomate
PLANTES: Spergule des champs (Spergula arvensis)
Effets: Réduit les pucerons, les chenilles et les vers des racines
PLANTES: Stramoine (Datura stramonium)
Effets: Diminue les doryphores
PLANTES: Tanaise (Tanacetum vulgare)
Effets: Prévient un grand nombre d'insectes : fourmis, pucerons, vers du chou, doryphores, gros insectes, parasites de la courge
PLANTES: Thym (Thymus vulgaris)
Effets: Diminue les parasites et les vers des choux, la mouche blanche
PLANTES: Tomate (Lycopersicon lycopersicum)
Effets: Prévient tous les parasites des choux
PLANTES: Trèfle (Trifolium)
Effets: Prévient les mouches des choux
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